Edité par 

Cet ouvrage, atypique et (un peu) impertinent, s’enracine dans la réalité des relations sociales et de la maltraitance subie au quotidien par l’espèce humaine en ces temps de crise et de perte de sens.

Dans la famille et l’éducation, à l’école, face au médecin, face au « système », dans les relations de travail, les relations de couple, dans la sexualité, dans les relations de genre, dans la communication de masse, « l’information », la mode, la culture… le petit d’homme est dressé, pressé, conditionné, maltraité, poussé dans un « droit chemin » conforme, vide de sens et confortable.

En un mot, aliéné.

Admettre « qu’on n’a pas le choix » c’est se laisser aller à l’abdication de soi et de son potentiel créatif, au renoncement à son individualité, à un confort morne et mou, vide de sens. Au final, désespérant.

À l’inverse, se dresser dans l’affirmation de soi, dans le récit de son individualité, c’est le choix d’un chemin courageux, confrontant. Le choix de la vie.

Max Robert

Enfant de la T’chaux, il porte en lui un brin d’esprit révolutionnaire, la sur-pertinence côtoie allégrement un brin d’impertience. 

Après une carrière d’enseignant, effaré devant la souffrance de ses collègues, la résignation de ses élèves et l’absurdité d’un système éducatif qui prétend émanciper à coups de discipline, il se lance dans l’accompagnement psychosocial, en coach indépendant. Parallèlement, il est biographe et célébrant indépendant en funérailles. Créatif depuis toujours, il met son goût pour le récit au service du mouvement par lequel l’humain, irréductiblement, cherche sans cesse à reconquérir son pouvoir de créer sa propre vie.